[TAA] La Taverne des Auteurs Amateurs [TAA]

La pêche aux moules est votre passion ? Parlons-en ici.

Citation de TenebrayamiLe topic se porte bien, c'est sympa.
Je verrais si un jour je me sens inspiré, j'ai déjà pas mal de choses à rédiger de côté.

Poursuivez, c'est vachement sympatoche à lire en tout cas, la patte de certains est très bonne.


Dire que tu comprenais le projet au début xD
Landen
  • 2344 message(s)
16 Déc 2016, 17:10
À force de onze pages j'ai pu comprendre, haha xD
Ah Brayam, je te cherchais. J ai publié mon deck concours et j y ai inclus une histoire de wow. Pourrais tu aller jeter un oeil et me citer les pépins ?
Ca me ferait vraimemt plaisir :)
Landen
  • 2344 message(s)
17 Déc 2016, 17:19
J'essayerai de te tenir au courant je n'ai pas vraiment le temps de regarder depuis peu, j'ai beaucoup de choses à préparer, à rédiger et surtout des préparatifs IRL.
Bonsoir tout le monde ! Voici un extrait des Chroniques d’Erebus, un recueil de contes sur la fantaisie, qui traite sur la carte « piqueur de démons des mers » (un peu inspirée du récit écrit par IronOfdragoons, sur le démo zoo murloc ^^) dans une ambiance plutôt sombre. Je tiens à préciser que j’ai pris quelques libertés sur certains personnages (comme Mal Ganis), donc pas d’affolement ^^ je sais de qui je parle, quand même.

Les Chroniques d’Erebus « le piqueur de démons des mers »

Quand nous étions petits, mes frères et moi rendions souvent visite au vieux Morgl. Il nous racontait souvent des histoires, et parmi elles, une nous effrayais beaucoup plus que les autres : les piqueurs de démons des mers. Ces murlocs étaient de véritables légendes, des spectres héroïques, de véritables héros. Mais leur sinistre destin était tout autre. Ils étaient les victimes d’un misérable pacte, qu’un démon malfaisant avait mis sur pieds.
« La Kabale » : cette organisation criminelle de Gadjetzan était connue pour sa perfide rie et sa cruauté, mais également pour sa puissance sans pareil. L’un de ses membres se nommais Verg’l queue-de-fer, et étais un murloc très puissant. En effet ce dernier était à la tête d’un groupe d’infiltration au service du vil et cruel Mal Ganis, et avais pour mission de percer le secret du spectaculaire mage Kazakus, et de sa magie tout aussi magnifique. Le démon avait chargé queue-de-fer de trouver les formules d’incantations utilisées par l’archimage et de les lui rapporter. Mais la kabale n’était pas seule cible ; en effet il visait également à prendre possession du territoire immergé de la baie de Gadjetzan, appartenant au murlocs. Son but ultime était de mettre fin aux jours de l’oracle Morgl, et ainsi prendre le contrôle de la baie.
Le bataillon était constitué de fieffé guerriers murlocs, et parmi eux se trouvait le célèbre Barbinja, et la progéniture du vieux trouble-œil. Cette armée de poisson, assoiffé de sang, était prête à tout pour arriver aux sinistres fins du démon Mal Ganis. Mais la corruption atteint tous les cœurs, même les plus purs. À l’intérieur de ce régiment se trouvait mon père, amis avec Barbinja. Le lotus de jade, aillant appris le but des créatures au sein de la Kabale, proposèrent à Barbinja et à mon père de le rejoindre…ils acceptèrent. Ce fut le début de la fin de la mascarade de Mal Ganis. Queue-de-fer appris les agissements de mon père et de son compatriote, Barbinja, et décida de les punir : un combat à mort entres eux. Il ne révéla, contre toute attente, pas la trahison des deux compères à Mal Ganis…grave erreur.
Le lotus, par on ne sait quel miracle, fus mis au courant pour le combat, et choisi le plus prometteur, Barbinja, pour l’aider à gagner. En effet, la récompense à l’issu de ce combat était la suivante : « une fois le combat terminer, et le vainqueur proclamer, ce dernier pourras choisir le camp dans lequel il voudra se rendre ». Les deux futurs ennemis eurent le temps de se réunir autour d’une table, sous la surveillance d’Aya patte-noire et Queue-de-fer, pour discuter une dernière fois. « J’aurais aimé ne pas à avoir à faire cela. » dit en sanglots mon père.
- Voyons, saigne-poiscaille, je t’ai vu plus combattif. N’as-tu donc pas hâte que le combat ne commence ? L’occasion ou jamais de nous départager et de mettre fins à ce stupide dilemme de qui est le plus fort ! répondis cruellement Barbinja.
- Mais, n’avions-nous pas dit que nous ne nous séparerions jamais, mon ami ?! s’écria saigne-poiscaille.
- Il n’est plus question d’amitié…il est question de mort. Ce soir, tu goutteras à ma haine, ce soir, tu diras adieux à ta femme et à ton fils, aux soirées festives, au gout de l’alcool, aux belles filles de Gadjetzan, à l’ombre rassurante de Neptulon. Ce soir, tu mourras.
- Je ne te reconnais plus, Barbinja.
- Moi tu ne me reconnais plus…mais j’imagine que tu la connais, elle ! Cria Barbinja, se jetant sur Saigne-poiscaille, tout en sortant une dague ornée d’un diamant pourpre.
Le murloc se jeta sur son compère et lui transperça la poitrine à plusieurs reprises. Le pauvre murloc agonisant, essaya de demander de l’aide, mais son agresseur vins terminer le travail en lui tranchant la gorge.
- Je suis surpris, ma chère Aya, que se très cher Queue-de-fer ne se soit pas interposer.
- Il n’aura pas eu le temps de faire quoi que ce soit. Répondis Aya, jetant le corps inerte et sans vie du chef de garnison murloc.
- Assassiné par sa propre lame…y a-t-il destin plus pitoyable ? fit Barbinja en regardant avec mépris son ancien compagnon d’arme mort, au sol.


Voilà, fin de l’extrait ^^. Si l’histoire vous à plus et que vous voulez savoir la suite, dites-le en commentaire.

Ps : c’est ma première histoire sur l’univers de Warcraft, soyez indulgent et n’hésitez pas à me dire les choses à améliorer ;)
J'ai enfin finit ma petite histoire!!!! Enjoy :




L’œuf

L’aridité de la terre semblait troubler l’air, et la chaleur étouffait mes sombres pensées. « Si seulement l’obscurité de mes souvenirs pouvaient au moins me couvrir de leur ombre et me protéger du soleil cuisant », prononçais-je tout bas…Ma langue eut d’ailleurs du mal à articuler ces quelques mots.
Elle était aussi rugueuse que celle du chat auquel je peux ressembler la nuit avant d’accomplir la triste besogne qu’est celle d’un assassin.
Les assassins, dans la vie ne sont pas et ne ressemblent pas, et sont même, en tous points différents de ce que nous laissent imaginer les films. Ils y sont décrits comme des hommes d’un grand raffinement du meurtre et possédant une capacité de réflexion stupéfiante. On les présente comme des génies de la planification, des maitres de la discrétion, ils volent comme des papillons et piquent comme autant d’abeilles. Leurs poignards peuvent planter ce que leur regard ne peut voir. Furtifs, imprévisibles, tant de mythes qui s’articulent autour des personnes si pathétiques que sont les assassins. Je ne parle pas là de morale et ne porte aucun jugement sur le choix de retirer la vie d’un individu, ça n’aurait aucun sens ici-bas, mais sur ce fantasme du tueur furtif. Comment peut-on vouloir devenir cet homme qui n’a même pas le respect d’un chasseur de prime pour sa victime quand il saigne sa proie dans le dos ? Sans laisser ni un regard, ni même une parole ! Sans parler de ces hypocrites qui laissent leur nom de scène ridicule au dos d’une carte !
Alors pourquoi me direz-vous ? Comme je l’ai déjà dit, les assassins sont de bien pathétiques gens…j’en fais partie. Voyez-vous, lorsque l’on n’a pas d’autre talent que celui de la fourberie, qu’un soir, en rentrant de l’école, le jeune enfant que vous êtes, ayant eu la BRILLANTE idée d’emprunter cette ruelle étroite qui se trouve derrière la vieille boulangerie, vous vous faites kidnapper par un de ces monstres urbains, ces véritables proxénètes vous font alors goûter à l’arbre du crime, et bien, ce jour-là, vous devenez un assassin. La grande classe ? Vous trouvez ? Alors, vous allez monter les échelons, commençant par un vol de pomme puis détroussant un pauvre homme prit dans un guet-apens. Assoiffé par l’argent depuis le premier péché, vous finirez par tuer, et ce jour-là vous serez un assassin. Vous ne l’aviez pas fait exprès ? Pau’v chou va! Peu importe, ce jour-là, vous serez un assassin.
Voilà où j’en suis. Passé de jeune enfant innocent, à professionnel de la violence, traversant le désert séparant Gadjetzan d’Hurlevent pour une « commande ». Pas un bruit jusqu’à présent pour venir perturber mes pensées, et c’est alors que j’entends des ricanements se mêler à des pleurs. Je m’approche assez des silhouettes pour y découvrir six petits dragonnets encerclant un petit objet rond.
Curiosité avide ou esprit joueur (après tout peut-être que l’enfant que j’étais n’est pas mort !), je dégaine mon arme à feu et tir à blanc sur ces voyous à écaille. Pris de peur, trois d’entre eux s’envolent comme des pigeons, tandis que les trois autres détalent à grandes enjambées. Quelques mètres me séparent à présent de l’objet et je parviens à distinguer un œuf. Mais pas n’importe quel œuf, non, un œuf de dragon ! Quelle aubaine ! Mes doigts commencent déjà à s’emparer de la coquille et à la cacher précieusement dans mon sac tandis que mon cerveau se met à calculer les bénéfices, lorsque l’œuf semble lâcher un soupir. Je suis stoppé nette par ce murmure. Un rapide calcul effectué par mon « brillant esprit de planification » me rappelle que les œufs ne pleurent pas avant que mes mains ce remettent au travail. Mais à peine le mouvement reprend qu’un nouveau râle pleurnichard se fait entendre. Cette fois-ci, je ne rêve pas, je suis presque sûr d’avoir ouï l’œuf parler. Je toque à la coquille comme à une porte et me prononce « y’a quelqu’un la d’ans ? »
A ma grande stupéfaction il me répond : « ils sont partit ? »
- Qui « ils » ?
- Vous savez, les trucs qui grognent et qui ricanent !
- Un clown qui imite un chien ?
- Mais non voyons ! Les trucs là ! Les trucs qui m’entouraient !
- Les dragonnets ?
- Oui, voilà ! C’est ça !
- Non, ils sont partit lorsque j’ai tiré.
- Oh ! Merci ! A qui dois-je l’honneur de ma survie ?
- [l’air gêné car je voulais le revendre] : Oh, ce n’est rien ! Mon nom est Paul.
- Paul comment ?
- Juste Paul.
- Ravis de faire votre connaissance Paul. Au faite, qui es-tu ?
- (il se fout de moi ou quoi ? Bon calme toi répond juste: )
Je viens à l’instant de vous le dire ! Moi, c’est Paul.
- Mais Paul, c’est votre nom n’est-ce pas ? Ça ne me dit pas QUI vous êtes.
- Je suis un être humain qui s’appelle Paule. C’est bon, vous êtes content ! (je commençais sérieusement à me demander si je n’aurais pas mieux fait de le laisser avec la racaille). Bon, passons. Comment se fait-il que tu sois encore dans ta carapace !
- Les œufs de dragon vous le savez (à vrai dire, je ne le savais pas) , sont fait d’une matière très résistante. Tant que l’œuf n’est pas arrivé à maturité, impossible de sortir. Malheureusement pour moi, le destin ma punit en m’enfermant dès ma naissance dans cette prison minérale qui fait mon logis. Maintenant que je t’ai dit qui j’étais, peux-tu me dire QUI es-tu ! Un individu n’est pas définit par son nom ou son espèce mais par ses actes et son vécu. Alors dit moi, QUI es-tu ?
- (Je commençais enfin à comprendre ce que voulait dire la question. Mais étais-je vraiment capable d’y répondre ? Alors je lui demandais: ) Es-tu sur de vouloir savoir qui je suis ? Es-tu sur de vouloir savoir l’incapable que je suis ? Es-tu sur de vouloir savoir la liste des choses affreuse dont je suis la cause ? Es-tu sur de vouloir savoir tout le mal que l’on m’a fait ? Tous les malheurs dont je résulte ! Comme un calcul ! Comme un algorithme ! Rien de plus qu’une suite d’évènements tragiques. Rien de plus qu’un assassin.
Alors maintenant, dis-moi, es-tu sur de vouloir savoir qui je suis ?

Ces quelques mots figèrent le temps, le laissèrent suspendu un instant. Précieux instant. Cet instant qui nous cloue au sol, prise de conscience aussi froide qu’effrayante, qui nous laisse un gout amer d’orange en bouche. Ce silence en disait plus que toutes les paroles du monde. Ce silence criait, hurlait au désespoir. Il appelait à l’aide, même un bourreau serait venu me tenir la main.
Ce même silence avait repris ses droits, devenu roi du désert, il sembla nous autoriser à parler à nouveau.
L’œuf reprit, brisant son règne :

- Tu sais, moi non-plus je ne suis pas sûr de savoir qui je suis …
Il parait que je suis un dragon…J’ai des ailes mais ne vole pas, des dents mais ne mord pas, un nez mais ne sent pas…
Je ressemble à une de ces devinettes que me racontait mon frère !

- « Tu as un frère ?! », m’exclamais-je.
- Ou plutôt « j’avais », dit-il tristement.
- Que s’est-il passé ?
- Un jour, lorsqu’il eut ses 12 ans (soit 18 ans pour un humain), il partit avec ses amis me promettant de revenir avec le légendaire marteau du destin de Thrall, afin de me délivrer de ma coquille. Ne pouvant le voir, j’entends encore le bruit de son pas s’éloigner de moi…de plus en plus vite, de plus en plus loin, jusqu’à ce que le son de sa marche finisse par s’étouffer dans le sable chaud. Depuis, j’attends sa venue, comme un mort attend le son de la trompette.
- Et cela fait combien de temps que tu ne l’a pas vue, ou plutôt devrais-je dire entendu ?
- Je ne sais pas trop…mais cela fait assez longtemps. Tu sais, la d’ans on perd vite toutes notion du temps…
- Tu n’as donc jamais vu le monde ? Pas une couleur, pas une courbe, rien ? Rien que le vide ?
- Rien, finit-il par dire. Rien que le néant et cette voute sombre qui fait mon toit. Mais tu sais, on s’y fait. Je n’ai jamais connu la vue, alors j’ai imaginé le monde avec le dernier sens qu’il me reste : l’ouï. Je me suis fabriquer un petit monde sonore, une reconstitution petit bout par petit bout de l’univers qui m’entour. Alors je m’endors et je rêve du monde…
D’ailleurs, tu n’es peut être qu’un rêve, et je parle tout seul depuis le début ! Peut-être suis-je déjà fou ou peut-être que je rêve de moi-même ! Qui sait…
Dit, tu es encore là ?
- Oui, je suis là. Dit moi, que sais-tu du monde ? Ou plutôt de ton
monde ?
- Il y a à ma gauche deux grands arbres au majestueux tronc, ornant au bout de leurs branches, des feuilles couleur ciel.
Derrière toi se trouve une foret luxuriante aux mille nuances, et au-delà on peut voir ce dessiner la silhouette de l’imposant château d’Uther. Et derrière moi se trouve une colline marbré surplombé de quelques buissons furtifs.
Malheureusement la réalité était tout autre. Pas un brin de verdure à des kilomètres, pas une couleur, juste cette roche blanchâtre et desséchée, pas un relief, juste ce sol plat et grisant. Pourquoi Uther, le porteur de lumière, aurait-il choisit un endroit aussi sordide pour son somptueux palais aux jardins suspendu ? Je décidais de garder pour moi cette vérité, ne voulant attrister l’animal. Je m’apprête à lui poser une question mais un ronronnement me coupe dans mon inspiration. Il s’est endormit. Je balaye le paysage du regard, me surprenant à y découvrir un soleil écarlate, jouant les équilibristes sur la ligne de l’horizon. Le ciel s’emplit rapidement d’une sombre clarté comme une goutte d’encre noircie les volutes de l’eau. La nuit tombe sur mes épaules, alourdissant mon cœur. Les ronronnements se taisent, laissant à nouveau place au silence. Je colle mon oreille contre la paroi de l’œuf mais n’y entend rien. Les battements de son cœur se sont tuent. Il est mort. Je ne parviens à retenir une larme qui coule avec une infinie lenteur sur ma joue chaude. Elle parcours tous les trait de mon visage, se glissant dans la moindre aspérité, comme pour me redessiner. Arrivée sur le bout de mon menton, elle stoppe sa course, restant un instant immobile et tremblante, avant de se jeté de celui-ci et de s’écraser sur mon genou.
Finalement, je ne suis pas si différent de cet œuf. Prisonnier de la solitude comme d’une coquille, je ne veux pas voir la vérité car je la crains. Alors je renferme mes pensées sous une chape de plomb, gardant ce silence qui hurle en moi.
Ma main tremblante vient s’emparer de mon pistolet. Je pose le canon froid de l’arme sur ma tempe humide et tire. Mais cette fois ci, la balle n’était pas à blanc.
Citation de TrollandGoblinBonsoir tout le monde ! Voici un extrait des Chroniques d’Erebus, un recueil de contes sur la fantaisie, qui traite sur la carte « piqueur de démons des mers » (un peu inspirée du récit écrit par IronOfdragoons, sur le démo zoo murloc ^^) dans une ambiance plutôt sombre. Je tiens à préciser que j’ai pris quelques libertés sur certains personnages (comme Mal Ganis), donc pas d’affolement ^^ je sais de qui je parle, quand même.

Les Chroniques d’Erebus « le piqueur de démons des mers »

Quand nous étions petits, mes frères et moi rendions souvent visite au vieux Morgl. Il nous racontait souvent des histoires, et parmi elles, une nous effrayais beaucoup plus que les autres : les piqueurs de démons des mers. Ces murlocs étaient de véritables légendes, des spectres héroïques, de véritables héros. Mais leur sinistre destin était tout autre. Ils étaient les victimes d’un misérable pacte, qu’un démon malfaisant avait mis sur pieds.
« La Kabale » : cette organisation criminelle de Gadjetzan était connue pour sa perfide rie et sa cruauté, mais également pour sa puissance sans pareil. L’un de ses membres se nommais Verg’l queue-de-fer, et étais un murloc très puissant. En effet ce dernier était à la tête d’un groupe d’infiltration au service du vil et cruel Mal Ganis, et avais pour mission de percer le secret du spectaculaire mage Kazakus, et de sa magie tout aussi magnifique. Le démon avait chargé queue-de-fer de trouver les formules d’incantations utilisées par l’archimage et de les lui rapporter. Mais la kabale n’était pas seule cible ; en effet il visait également à prendre possession du territoire immergé de la baie de Gadjetzan, appartenant au murlocs. Son but ultime était de mettre fin aux jours de l’oracle Morgl, et ainsi prendre le contrôle de la baie.
Le bataillon était constitué de fieffé guerriers murlocs, et parmi eux se trouvait le célèbre Barbinja, et la progéniture du vieux trouble-œil. Cette armée de poisson, assoiffé de sang, était prête à tout pour arriver aux sinistres fins du démon Mal Ganis. Mais la corruption atteint tous les cœurs, même les plus purs. À l’intérieur de ce régiment se trouvait mon père, amis avec Barbinja. Le lotus de jade, aillant appris le but des créatures au sein de la Kabale, proposèrent à Barbinja et à mon père de le rejoindre…ils acceptèrent. Ce fut le début de la fin de la mascarade de Mal Ganis. Queue-de-fer appris les agissements de mon père et de son compatriote, Barbinja, et décida de les punir : un combat à mort entres eux. Il ne révéla, contre toute attente, pas la trahison des deux compères à Mal Ganis…grave erreur.
Le lotus, par on ne sait quel miracle, fus mis au courant pour le combat, et choisi le plus prometteur, Barbinja, pour l’aider à gagner. En effet, la récompense à l’issu de ce combat était la suivante : « une fois le combat terminer, et le vainqueur proclamer, ce dernier pourras choisir le camp dans lequel il voudra se rendre ». Les deux futurs ennemis eurent le temps de se réunir autour d’une table, sous la surveillance d’Aya patte-noire et Queue-de-fer, pour discuter une dernière fois. « J’aurais aimé ne pas à avoir à faire cela. » dit en sanglots mon père.
- Voyons, saigne-poiscaille, je t’ai vu plus combattif. N’as-tu donc pas hâte que le combat ne commence ? L’occasion ou jamais de nous départager et de mettre fins à ce stupide dilemme de qui est le plus fort ! répondis cruellement Barbinja.
- Mais, n’avions-nous pas dit que nous ne nous séparerions jamais, mon ami ?! s’écria saigne-poiscaille.
- Il n’est plus question d’amitié…il est question de mort. Ce soir, tu goutteras à ma haine, ce soir, tu diras adieux à ta femme et à ton fils, aux soirées festives, au gout de l’alcool, aux belles filles de Gadjetzan, à l’ombre rassurante de Neptulon. Ce soir, tu mourras.
- Je ne te reconnais plus, Barbinja.
- Moi tu ne me reconnais plus…mais j’imagine que tu la connais, elle ! Cria Barbinja, se jetant sur Saigne-poiscaille, tout en sortant une dague ornée d’un diamant pourpre.
Le murloc se jeta sur son compère et lui transperça la poitrine à plusieurs reprises. Le pauvre murloc agonisant, essaya de demander de l’aide, mais son agresseur vins terminer le travail en lui tranchant la gorge.
- Je suis surpris, ma chère Aya, que se très cher Queue-de-fer ne se soit pas interposer.
- Il n’aura pas eu le temps de faire quoi que ce soit. Répondis Aya, jetant le corps inerte et sans vie du chef de garnison murloc.
- Assassiné par sa propre lame…y a-t-il destin plus pitoyable ? fit Barbinja en regardant avec mépris son ancien compagnon d’arme mort, au sol.


Voilà, fin de l’extrait ^^. Si l’histoire vous à plus et que vous voulez savoir la suite, dites-le en commentaire.

Ps : c’est ma première histoire sur l’univers de Warcraft, soyez indulgent et n’hésitez pas à me dire les choses à améliorer ;)



C'est vachement bien pour un premier jet !!! Bonne chance pour la suite !

J'en profite pour remercier tous ceux qui font vivre cette article (je rappelle qu'à la base il n'y avait que moi et iron!)
Je m'attendais à recevoir un vent de la communauté, et à la place, pleins de gens on consacré bcq de leur temps libre à écrire des histoire. Je vous remercie donc et vous souhaite de joyeuses fêtes !!!
CC les affreux, je suis absent depuis un ptit moment et je m'en excuse et là je balance mes arguments ^^
-Je m'entraîne pour l'interforum de janvier donc là je tryhard pas mal.
-Pas mal de boulot pour les fêtes de fin d'année (tous le monde y passe)

Voilà, mais là je vais essayer de passer moins de temps sur HS, comme ce soir parce que sinon je deviens l'incarnation du sel (passer de R8 à R10 et se battre comme un zouave pour arracher le R9 c'est l'enfer en plus le jeu se cancerise).
Allez maintenant je rajoute trollandgobelin dans la présentation. Bon sinon publier sur le topic prévu à cet effet quand vous avez fini, il se trouve dans les pages 8 ou plus je sais plus m'enfin ^^
Je réserve le flingueur et le barman amical :) Très content que ça plaise, je publie la suite demain

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