Très déçu de pas avoir pu proposer du nouveau contenu :-( Je suis tombé malade et je n'ai pas put actualiser mon texte. J'espère pouvoir publier quelque chose de nouveau demain. Encore navré :-(
aillant été malade ses trois derniers jours je n'ai malheureusement pas pus beaucoup avancer sur les Chroniques. MAlgré cela j'ai pus rédiger un cours passage, ce soir, voici donc la suite de "Dors hurlevent, dors..." ^^
J’étais moins fiévreux que quand je m’étais réveillé, mais mes membres étaient toujours aussi engourdis. Tant et si peu de choses s’étaient passées en une journée, qui m’avait l’air d’avoir duré une éternité. Et puis il y avait ce mystérieux rêve, qui me tourmentait toujours autant. - Eh bien vous venez, le flingueur ? me dit Starwolfen du bout du couloir. J’accélérais le pas et me dirigeais vers la sortie, du moins se furent ce que mes jambes firent. Intérieurement j’étais encore trop fatigué pour me mouvoir correctement. Le worgen poussa la porte, et me fit signe de rentrer. La pièce était beaucoup plus vivante que je ne l’aurais pensé ; en effet, de nombreux elfes festoyaient gaiement à une table, l’un chantant d’une voix aussi mielleuse qu’harmonieuse, l’autre trop occupés à manger l’épaisse et juteuse pièce de viande bien cuite qui se trouvait à ses côtés. À une autre table, plusieurs nains se racontaient des histoires en tous genres, récits d’aventures et légendes, fables et contes. Baine se trouvait au bar, et servait deux choppes généreuses de bière à deux vieux orcs, me vus et me fis signe de le rejoindre. Mais toutes ses festivités furent interrompues brutalement par un worgen qui m’était familier : le scélérat qui m’avais bourré de coups la veille. Je n’étais pas en mesure de me défendre, car n’aillant rien avalé de la journée, trop occupés à dormir et à me perdre dans de sombres pensées et des réflexions toujours plus complexes ou étranges, mes forces m’avaient abandonnées et je peinais à tenir debout. Malgré la faiblesse de son adversaire, l’homme-loup se précipita sur moi, rugissant et toutes griffes dehors. « S’est donc ici que tu te cachais misérable clochard ! Je vais t’étriper et livrer ton cadavre à mes bêtes !!! » Beugla-t-il. Ses bras longs et ses mains puissantes et griffues m’auraient broyé si Starwolfen ne s’était pas interposer. Il le saisit par la mâchoire l’envoyant s’écraser tête la première contre le parquais. Le worgen tentât de se relever, mais Starwolfen le saisit par la jambe, le souleva, et lui asséna un violent coup en plein ventre. La bête tomba à terre, sonné et mal en point. « Non, non ! Pitié Star, je t’ai rien fait. C’est sa faute, se maudit orc ! Je supporte pas ses raclures à la peau verte ! Ce sont des ordures, des créatures maudites ! Je t’en supplie Star, ai pitié de moi ! » Dit le worgen, implorant la bienveillance de Starwolfen. « Tu mériterais de boire le sang de Manoroth, toi aussi, pour comprendre ce que cela fait de vivre avec ça » dit Starwolfen. Mon sauveur lui saisit la jambe, et la poussa violement contre sa poitrine. Son genou se serait en temps normal plié, mais le mouvement fut si brusque et brutal, témoignant de la force implacable du worgen, que la jambe de la créature se cassa telle une brindille, lequel hurla de toutes ses forces, la bouche grande ouverte. Starwolfen se saisit de cette occasion inespérée, pour lui saisir la glotte et l’arracher de toutes ses forces. Le pauvre worgen agonisant se noya dans son propre sang, aux yeux de tous. Starwolfen regarda toute la salle et parla d’un air moqueur. « Y a-t-il présentement d’autre volontaires. Baine, fait venir quelqu’un pour faire débarrasser le plancher à ce misérable ! Et qu’est-ce que vous avez à me regarder de la sorte ?! Allons vermisseaux ! Activez-vous et plus vite que ça ! ».
Donnez-moi votre avis sur le texte en général, je prends toute remarque, bonne ou mauvaise, du moment qu'elle soit constructive ^^
Vous avez quoi à être tous malade, allez je vous emmène dans le Cantal avec mes Grand-parents, à la ferme vous verrez après on est plus jamais malade !
Bien le bonjour ! J’espère que vous avez passé de bonnes fêtes ^^
J’ai énormément réfléchis durant ces quelques jours, et je suis arrivé à la conclusion suivante : je ne veux pas continuer à écrire le second volume des Chronique d’Erebus. Alors, ça ne veut pas dire que je ne vais pas continuer les Chroniques d’Erebus, ou que je vais laisser en plant l’histoire actuelle du deuxième volume, mais je vais tout recommencé à zéro. Je m’explique : les Chroniques d’Erebus se veulent êtres de courtes histoires, des petites nouvelles qui racontent un fragment important d’une histoire sur une carte. Je résume un peu la chose, et je laisse le reste à l’imagination du lecteur. Ce dernier peut alors imaginer ce qu’il veut sur ce qu’il se passe après ce passage ou ce qu’il s’est passé avant. C’est donc un court récit. Le piqueur de démons des mers s’y prêtait bien (à ce format), et je n’avais pas vraiment envie d’en raconter plus. Mais quand j’ai commencé le deuxième épisode, j’ai choisi de traiter trois cartes à la fois : le flingueur, le motard worgen, et le barman amical. Mais comme dit précédemment je devais raccourcir le récit pour qu’il soit le plus court possible et qu’il résume au mieux la chose. La différence est la suivante : j’ai envie raconter une vraie histoire, beaucoup plus longue et fournie que les Chroniques, s’est pourquoi je vais abolir le deuxième volume en supprimant l’histoire actuelle et en prenant une toute autre carte (pas encore choisi^^), le tout pour reprendre l’autre histoire et la formater à ma guise. Je vais donc laisser un peu en plans les Chroniques, histoire de pouvoir vous donner un premier jet d’ici la fin du mois de décembre, en modifiant certains passages ou détails. Le texte de base restera quasiment tel quel.
Certains diront que j’en fais trop, mais il est pour moi important d’expliquer concrètement la chose, plutôt que de changer du jour au lendemain sans raison, et ce de manière brusque et brouillonne.
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20 Déc 2016, 20:17Grade Or
Oh ! Un congénère ^^