Citation de TrollandGoblinBonsoir tout le monde ! Voici un extrait des Chroniques d’Erebus, un recueil de contes sur la fantaisie, qui traite sur la carte « piqueur de démons des mers » (un peu inspirée du récit écrit par IronOfdragoons, sur le démo zoo murloc ^^) dans une ambiance plutôt sombre. Je tiens à préciser que j’ai pris quelques libertés sur certains personnages (comme Mal Ganis), donc pas d’affolement ^^ je sais de qui je parle, quand même.
Les Chroniques d’Erebus « le piqueur de démons des mers »
Quand nous étions petits, mes frères et moi rendions souvent visite au vieux Morgl. Il nous racontait souvent des histoires, et parmi elles, une nous effrayais beaucoup plus que les autres : les piqueurs de démons des mers. Ces murlocs étaient de véritables légendes, des spectres héroïques, de véritables héros. Mais leur sinistre destin était tout autre. Ils étaient les victimes d’un misérable pacte, qu’un démon malfaisant avait mis sur pieds.
« La Kabale » : cette organisation criminelle de Gadjetzan était connue pour sa perfide rie et sa cruauté, mais également pour sa puissance sans pareil. L’un de ses membres se nommais Verg’l queue-de-fer, et étais un murloc très puissant. En effet ce dernier était à la tête d’un groupe d’infiltration au service du vil et cruel Mal Ganis, et avais pour mission de percer le secret du spectaculaire mage Kazakus, et de sa magie tout aussi magnifique. Le démon avait chargé queue-de-fer de trouver les formules d’incantations utilisées par l’archimage et de les lui rapporter. Mais la kabale n’était pas seule cible ; en effet il visait également à prendre possession du territoire immergé de la baie de Gadjetzan, appartenant au murlocs. Son but ultime était de mettre fin aux jours de l’oracle Morgl, et ainsi prendre le contrôle de la baie.
Le bataillon était constitué de fieffé guerriers murlocs, et parmi eux se trouvait le célèbre Barbinja, et la progéniture du vieux trouble-œil. Cette armée de poisson, assoiffé de sang, était prête à tout pour arriver aux sinistres fins du démon Mal Ganis. Mais la corruption atteint tous les cœurs, même les plus purs. À l’intérieur de ce régiment se trouvait mon père, amis avec Barbinja. Le lotus de jade, aillant appris le but des créatures au sein de la Kabale, proposèrent à Barbinja et à mon père de le rejoindre…ils acceptèrent. Ce fut le début de la fin de la mascarade de Mal Ganis. Queue-de-fer appris les agissements de mon père et de son compatriote, Barbinja, et décida de les punir : un combat à mort entres eux. Il ne révéla, contre toute attente, pas la trahison des deux compères à Mal Ganis…grave erreur.
Le lotus, par on ne sait quel miracle, fus mis au courant pour le combat, et choisi le plus prometteur, Barbinja, pour l’aider à gagner. En effet, la récompense à l’issu de ce combat était la suivante : « une fois le combat terminer, et le vainqueur proclamer, ce dernier pourras choisir le camp dans lequel il voudra se rendre ». Les deux futurs ennemis eurent le temps de se réunir autour d’une table, sous la surveillance d’Aya patte-noire et Queue-de-fer, pour discuter une dernière fois. « J’aurais aimé ne pas à avoir à faire cela. » dit en sanglots mon père.
- Voyons, saigne-poiscaille, je t’ai vu plus combattif. N’as-tu donc pas hâte que le combat ne commence ? L’occasion ou jamais de nous départager et de mettre fins à ce stupide dilemme de qui est le plus fort ! répondis cruellement Barbinja.
- Mais, n’avions-nous pas dit que nous ne nous séparerions jamais, mon ami ?! s’écria saigne-poiscaille.
- Il n’est plus question d’amitié…il est question de mort. Ce soir, tu goutteras à ma haine, ce soir, tu diras adieux à ta femme et à ton fils, aux soirées festives, au gout de l’alcool, aux belles filles de Gadjetzan, à l’ombre rassurante de Neptulon. Ce soir, tu mourras.
- Je ne te reconnais plus, Barbinja.
- Moi tu ne me reconnais plus…mais j’imagine que tu la connais, elle ! Cria Barbinja, se jetant sur Saigne-poiscaille, tout en sortant une dague ornée d’un diamant pourpre.
Le murloc se jeta sur son compère et lui transperça la poitrine à plusieurs reprises. Le pauvre murloc agonisant, essaya de demander de l’aide, mais son agresseur vins terminer le travail en lui tranchant la gorge.
- Je suis surpris, ma chère Aya, que se très cher Queue-de-fer ne se soit pas interposer.
- Il n’aura pas eu le temps de faire quoi que ce soit. Répondis Aya, jetant le corps inerte et sans vie du chef de garnison murloc.
- Assassiné par sa propre lame…y a-t-il destin plus pitoyable ? fit Barbinja en regardant avec mépris son ancien compagnon d’arme mort, au sol.
Voilà, fin de l’extrait ^^. Si l’histoire vous à plus et que vous voulez savoir la suite, dites-le en commentaire.
Ps : c’est ma première histoire sur l’univers de Warcraft, soyez indulgent et n’hésitez pas à me dire les choses à améliorer ;)
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16 Déc 2016, 17:03Grade Émeraude
Dire que tu comprenais le projet au début xD