[TAA] La Taverne des Auteurs Amateurs [TAA]

La pêche aux moules est votre passion ? Parlons-en ici.
tu devrais mettre dit le pere de kazakus ou dir la mere de kazakus pour s'y retrouver
sinon il y a encore quelque faute par si par là. Sinon très bonne suite, j'ai bien aimé le contexte.
(mais le pere de kazakus c'est Don Han'Cho donc il devrais avoire deux tete non?)
bonne continuation ;)
Citation de leerooy jenkinstu devrais mettre dit le pere de kazakus ou dir la mere de kazakus pour s'y retrouver
sinon il y a encore quelque faute par si par là. Sinon très bonne suite, j'ai bien aimé le contexte.
(mais le pere de kazakus c'est Don Han'Cho donc il devrais avoire deux tete non?)
bonne continuation ;)


Absolument pas ^^ Deux familles qui n'ont rien à voir ! Pour te répondre, le père de Han'Cho est Badalamento. Le père de Kazakus et son oncle ont "travaillé" avec lui. C'est aussi Badalamento qui a assassiné l'oncle de Kazakus. Je devais revoir le texte pour corriger les fautes anyway mais je vais aussi le relire, apparemment il est pas toujours très clair :D
dernier pavé corrigé ! dsl leeroy mais je n'arrive pas à voir où tu as pu mal comprendre l'intrigue familiale.
Dites voir, y a de l'animation ici ! J'ai loupé deux trois trucs, inadmissible ;) Bon, vais pas vous cacher je bosse sur un gros projet, genre de type Roman. Sauf que bah j'ai laissé de côté l'univers de Warcraft pour me tourner vers mes origines vidéoludiques: Monster hunter !

Bref, je veux surtout savoir si ça dérange que je poste ici l'avancée de mes travaux ? Genre pour avoir vos avis (Car aussi surprenant que ça puisse paraître ils m'intéressent !). Bref !

Bonne soirée (et vive Bocu no pico !!!!!)
Ça fait longtemps que j’ai pas posté, et j’admets que ça me manquais ! Plus particulièrement : vous me manquez ;) Me suis rendu compte que ça va bientôt être l’anniversaire de la TAA (ou mes moults projets s’y entassent, sans jamais vraiment aboutir à quelque chose…m’enfin, je me cherche j’ai envie de dire :P) donc j’aurais une petite proposition à vous faire !

Bon, on est tous là pour X ou Y raison, et ont y reste pour W et Z raison…mais est-ce que les autres savent pourquoi vous êtes là et ce qui vous motive à rester ?! J’imagine que vous commencez à voir ou je veux en venir ; en effet, je pense que ces témoignages pourraient être intéressants, histoire d’apprendre à mieux se connaitre les uns les autres. En tout cas pour ma part je vais le faire. Et bah je pense que pour fêter l’anniversaire de la TAA ça pourrait être sympa d’organiser une soirée Discord ou ont parlerais de nos aventures vidéoludiques, etc (Pour ma part je prépare un petit article, je vous en dis pas plus ;)). Enfin bon, la partie annonce c’est fait !


Maintenant l’essentiel ! Le fameux extrait du Roman ! Bon, je vais vous donner deux ou trois indications sur le texte. Tout d’abord sachez que j’ai écrit le premier chapitre de sorte qu’un parfait néophyte puisse s’intégrer à l’histoire facilement. Mais si quelque chose n’est pas clair n’hésitez pas à me poser des questions (Pour l’orthographe vos gueules…je le sais ,s’est catastrophique, merci bien, en rajoutez pas une couche…#seldelalanguefrançais). Et pour tout ce qui touche aux monstres de l’univers, je vous incite à bêtement taper le nom desdits monstres sur ce formidable outil qu’est Google !

Voilà, c’était des petites précisions ;) Il ne me reste donc plus qu’à vous souhaiter une bonne et agréable lecture saltimbanques !

Chapitre 1:

Val habar, une immense ville perdue dans une mer de sable. Dans cette citée -ou s’entassaient marchand ambulant, commerçants, armurier mais également chasseurs- tout paraissait possible, du moment que l’on soit motiver à aller au bout de ses rêve. La vie étaie paisible, le commerce prospère et les monstres se tenaient à l’écart de la ville. Néanmoins il arrivait que la guilde de Val habar envoie des chasseurs en reconnaissance, dans le désert, pour s’assurer que les bêtes restaient dans un certain périmètre. Mais de ce monde sauvage, s’étaient les bêtes qui décidaient. Quand l’une d’entre-elles s’approchait trop près de la ville, s’est à dire à environ moins de quinze kilomètres, les chasseurs avaient le droit de la tuer, pour éviter tout risque d’attaque.

Le plus grand fléau de cette région était le Dah’ren Mohran, une gigantesque créature qui voyageait en nageant dans le sable. La créature était si grande qu’il aurait fallu plus de deux voiliers-des sables -des sortes de catamarans qui glissaient sur le sable et avançaient grâce au vent très violent de la région- pour arriver à faire la taille de la créature. L’animal portait une immense et impressionnante corne sur la tête. Cette dernière partait vers l’avant et représentait une menace pour tout navire devant passer à proximité de la bête. De plus, malgré sa grande taille et son poids considérable, elle avançait très rapidement et il était difficile de s’en éloigner. Seul les meilleurs chasseurs et conducteurs étaient autorisés à manœuvrer dans les régions ou la créature était aperçue. Néanmoins ces apparitions étaient rares, mais le Dah’ren Mohran pouvait surgir à n’importe quel moment et il ne fallait donc pas baisser sa garde.

Ses apparitions étaient détectables par la forte présence de Remobras, des lézards volant se nourrissant essentiellement de charogne, se déplaçant en groupes de trois à douze individus, mais en présence d’une pareil créature, les groupes doublaient voir triplaient. En effet après le passage d’un tel animal, nombreux étaient les cadavres d’autres monstres aillant eus le malheur de se trouver sur sa route, mais cela faisait un véritable festin pour les Remobras. Les habitants vivaient donc sereinement, mais toujours dans la crainte qu’une de ces créatures se montre et ne dévaste la ville. Si l’une d’entre elles arrivait à attaquer la citée, le pittoresque système de défense interne serait balayer d’un seul coup et les gens qui s’y trouveraient aussi, ainsi qu’une bonne partie des civils qui circuleraient à cet endroit.

Mais la guilde de Val habar, un bâtiment immense ou se retrouvent chasseurs et caravaniers, avait pris ces précautions et des nombreux bâtiments de guerre, lourdement armée et comptant de nombreux artilleur d’élites, avaient étés déployés autour de la ville. Val habar n’oubliera jamais l’arrivée d’un certain caravanier et de sa nouvelle recrue, dix ans plus tôt. Leur vaisseau s’était retrouver sur la trajectoire d’un Dah’ren Mohran, lequel n’avait pas apprécié la présence des individus et avait suivi leur trajectoire en les poussant de côtés.

Arrivée à dix kilomètres de la ville, la bête n’avait toujours pas daigné s’écarter et l’intervention du système de la guilde avait été nécessaire. Personne ne sait ce qui se serait passé si le système n’avait pas été là. En effet les chasseurs avaient réussi à repousser in-extremis la créature, qui était à moins d’un kilomètre de la ville. Un immense jet de poussière s’était alors abattu sur la ville et avait plongé une petite partie de Val habar dans la poussière et le sable.

Val habar vivait avec cela et s’en remettais toujours, mais les séquelles restaient. En effet dix chasseurs aillant voulu défendre la ville armée de lourds canons avaient perdu la vie. La plateforme sur laquelle ils se trouvaient s’était fait détruire par le jet, et à cause de leur lourd équipement, ils s’étaient fait apes par les sables. On ne retrouva jamais les corps, mais seulement différentes pièces d’équipement leur appartenant.

Cette ville vivait avec ces lourdes vérités. Elle connaissait des hauts et de bats, mais elle attirait également beaucoup de chasseurs. Val habar avait toujours réussi à se remettre des catastrophes et son commerce aussi. Ainsi, la citée disposait de nombreux artisans réputées, mais étant également une étape importante pour les convois de marchandises qui arrivaient des montagnes enneigées, et elle n’était jamais à cours de ressources. Tout semblait possible à Val habar. Et les jeunes chasseurs le savaient bien.

Quand Braygan arriva dans l’immense métropole, il avait les yeux pleins de lumières. Lumières qui se ternirent bien rapidement, puisqu’il ne s’était pas préparer à ce que les demandes venant de la guilde soient si exigeantes et difficiles, mais également si sélectives. Seuls les chasseurs aillant une licence haute gradée se voyaient attribuer les chasses de grands monstres. Il pensait chasser d’immenses monstres-t-elle que des Deviljoh - un immense Wyvern, extrêmement féroce et redoutés de tous - mais bien vite la réalité le déçus. Il n’avait que des petites quêtes, t’elle que partir en reconnaissance et ne rien tenter en cas d’apparitions de monstres, ou encore des collectes dans les canions. Pour lui, le pire restait les quêtes de collecte d’herbes. Il devait souvent s’aventurer dans des endroits peux fréquentables- du moins avec les monstres qui s’y trouvaient.

Il n’oubliera jamais sa rencontre avec un vieux Tigrex - un dragon aux pattes avant puissantes, doté d’un corps robuste et infatigable, mais également d’une mâchoire elle aussi dotée de dents aiguisées comme des lames de rasoirs. Le dragon l’avait regardé avant de pousser un hurlement si fort, que Braygan cru que sa colonne vertébrale allait décoller. La bête avait chargé sur lui, et l’avait coursé sur cent mètres, avant qu’un chasseur de la guilde officielle de Dondruma - capitale ou se tient le siège de la guilde et où le maître de la guilde a élu domicile, mais également les chasseurs les plus expérimentées du globe - saute sur le monstre et ne le terrasse. Braygan avait regardés la scène sans rien dire. Le chasseur était doté de doubles-lames faites en Lagiacrus - une Wyvern connue mais d’une difficulté à combattre légendaire - et avait décimé le Tigrex en quelques minutes.
Après coup, Braygan s’était rendus compte que le chasseur n’était pas en armure, mais simplement avec une fine côte de maille sur le torse, et des bandages sur les bras. Il portait des chaussures en cuir, qui n’étaient pas faites pour la chasse, et avait également une petite toge de soie noire au niveau de la taille, qui descendait jusqu’à ses genoux. Braygan avait été sidéré par la facilité avec laquelle l’homme avait abattu la bête. Le chasseur l’avait ignoré et était passé devant Braygan, qui lui avait crié quelques secondes après « Pardon de n’avoir rien pu faire ! ». Le chasseur d’élite s’était arrêtés et avait tourné la tête vers Braygan.
- « Un chasseur qui ne peut rien faire est un mauvais chasseur. Si la prochaine fois tu ne peux de nouveau rien faire, tu mourras, lui avait-il dit avant de s’éloigner. »
Braygan était resté sur place à regarder le corps du dragon, inerte, sans vie. S’il l’avait voulu, il aurait pu le dépecer et se faire un meilleur équipement, mais ce que l’homme lui avait dit le tourmentait tellement qu’il n’eus pas la présence d’esprit de le faire.

Quand il rentra à la guilde, il était tard et le soleil s’était déjà couché. Il avait rendu les composants de sa collecte et avait empoché la maigre prime qui était offerte. Il se rendit vers le port et s’installa sur le rebord d’une plateforme en bois. Il remarqua qu’une pierre y était posée, sur laquelle était gravé quelque chose. Il hésita, puis se leva et lut l’inscription. « Ici son mort les dix chasseurs de « L’incident ». Puisse cet autel leur rendre hommage. ». Le bas de la pierre comportait une signature; s’était celle du chef de la guilde. Braygan comprit qu’il s’agissait de la plateforme ou étaient morts les dix chasseurs, le jour de l’attaque du Dah’ren Mohran. Il regarda le ciel. La lune était pleine, et les étoiles brillaient. Pas un nuage. Braygan se sentais seul, mais à ce moment il eut le sentiment de l’être plus que jamais. Ce que le chasseur lui avait dit lui tournait dans la tête. Il rentra dans une auberge et commanda à manger.

Beaucoup de chasseurs y étaient et festoyaient gaiement. Un groupe comptait onze personnes, un autre seulement trois, et un troisième une vingtaine. Braygan, lui, était seul, le cœur lourd. Il mangea silencieusement, regardant le feu qui rugissait dans la cheminée. Il revu le Tigrex et le chasseur se jetant dessus, confiant. Il n’y avait aucune trace de peur sur son visage. Il était effrayant en le voyant. On aurait cru que le chasseur se demandait comment il allait terrasser la bête. Il distingua un léger sourire au coin de lèvres de l’homme.

Un morceau de bois tomba et le ramena à la réalité. L’homme qu’il avait vus était terrifiant, presque plus que le Tigrex lui-même. Ses cheveux longs et noirs, ses yeux rouges et son teint pâle, faisaient de lui un véritable démon. Braygan frissonna. Il était très tard, et demain, il devait escorter une groupe de marchand jusqu’au village Pokke, une petite bourgade perdue dans les montagnes enneigés. Il sourit en pensant pouvoirs faire ses preuves, sur le chemin, mais son sourire s’effaça quand il réalisa que cette fois-ci il serait seul, et que cela pouvait être n’importe quel monstre. Il frissonna de nouveau en repassant à ce qu’il avait entendu à la guilde. Apparemment un Deviljoh et deux autres bêtes avaient étés aperçus a vingt kilomètres de la route qu’il devait emprunter. La peur le gagna. Que ferait-il si lui, petit chasseur novice et inexpérimenté, devait se retrouver face au « Grand Joh »- surnom que certain chasseurs donnent au Deviljoh. Il se ferait tuer et les marchands aussi. La faute serait rejeté sur lui et on se souviendrait de Braygan comme étant un chasseur incompétent qui causa la mort de deux marchands. Cette idée lui était insupportable.

Braygan entrepris de sortir. La peur le dévorait intérieurement. Malgré son obstination, il savait qu’il devrait se surpasser pour espérer survivre en cas d’attaque de monstre. Et là il ne pensait qu’a sa propre vie, mais qu’en était-il des marchands ? Ils allaient mourir ? Braygan supposais que oui, mais une petite lumière dans son cœur essayait encore de l’en dissuader. Le plancher de l’auberge craquait sous ses pas. Au moment de sortir de l’auberge, Braygan réalisa à quel point il était seul et insignifiant. Mais c’était son choix. Il ressorti un morceau de toile de sa poche. C’était une vieille légende.

« On ne devient pas chasseur : on est né chasseur, et on le restera à jamais. Mais la vie de chasseur n’est pas aussi glorieuse que ce que l’on pense. Au départ vous êtes probablement motivés, vous réussissez l’exploit de vous trouver des compagnons de chasse, et vous nouez des liens, parfois fort, parfois même sentimentaux. Une chose est sure : ces personnes seront les seules à vous apprécier et à vous remarquer dans ce monde sans pitié. Et puis les quêtes s’enchaînent, et le novice devient débutant, puis le débutant devient chasseur, et enfin le chasseur devient un monstre lui-même. Les créatures que jusque-là vous avez appréciées, de par leur aspect poétique ou leur mode de vie, ne sont plus que de la viande qui servira à accueillir le courroux de votre arme. Les quêtes s’enchaînent, et vos liens se renforcent. Ils se renforcent, jusqu’à ce que la foudre s’abatte sur votre misérable existence. La foudre s’abat et vous devenez ce monstre. Vos ultimes liens sont brisés et réduit en poussière, et l’espoir ainsi que l’espérance ne sont plus que des cendres piétinés par votre désespoir.

En enfin, quand la rédemption viens, quand la mort vous caresse tendrement la joue, et que cette larme de bonheur et de regret se forme, vous les revoyez : ces chasseurs, avant de l’être, étaient vos amis. Et aujourd’hui vous êtes seuls. Quand la foudre s’abat, la réalité survient. Tel est la voie du chasseur. Quand la foudre s’abat, la lucidité vous gagne. Quand la foudre s’abat, vous redevenez pendant une fraction de seconde la personne innocente que vous étiez à vos débuts. Mais maintenant la foudre s’est abattue, et le chasseur n’est plus. Il ne reste alors plus que la machine à tuer, qui, elle, ne connaitra jamais de répits.

La foudre s’est abattue, et le monstre comme le chasseur ont été anéantis. Et le chasseur restera seul et solitaire à jamais : même dans la mort. »

Un frisson traversa Braygan. C’était une vieille histoire que l’on racontait beaucoup dans son village natal, à Kokoto. Ce récit terrorisait les enfants comme les adultes, car derrière se cachait une part de vérité : vous finissez très souvent seul et reclus dans votre folie meurtrière. « Enfin, je suis encore trop inexpérimenté pour penser à ce genre de choses, se dit-il pour se rassurer lui-même. ».

Deux fêtards traversèrent la ruelle ou se trouvait le jeune chasseur. Ils étaient joyeux, rond comme des queues de pelles, et se supportaient entre eux pour ne pas tomber. L’un d’entre eux vit Braygan, et se figea. Il tapa frénétiquement sur l’épaule de son camarade et pointa du doigt la silhouette du novice, l’air terrorisé. Les deux fêtards commencèrent à paniquer, et détalèrent en courant le plus rapidement possible. Braygan ne compris pas ce qui se passais. Il était dans une totale confusion, jusqu’à ce qu’un tir ne détruise littéralement sa propre conscience.

Une volée de balle vint s’abattre sur le dos d’un des deux buveurs. Ce dernier s’écrasa à terre, touché au vif. Son autre camarade s’enfuit, mais au bout de la rue, fut embrocher par une puissante lance, qui trancha sa chair d’un coup sec et violent. De son côté Braygan regardait la scène horrifié. Il reçut une tape sur l’épaule. Une main se posa sur lui, puis se crispa. Il entrevu des griffes sortir de l’armure du tireur. Braygan tourna légèrement la tête, et ne distingua que deux yeux blancs, comme embrasés, d’où s’échappais de la fumée. Son sang se glaça. Il remarqua à un autre détail ; le casque de la créature ressemblait étrangement à celui de son sauveur. La peur le gagna encore plus. Il était terrorisé. Il s’écroula à terre, sur les genoux. Le visage du prétendu chasseur se mit à hauteur d’épaule, et lui murmura quelque chose : « La fureur de la foudre brisera tes os, maudit. Tu es celui sur qui s’abattra la foudre, et l’antique légende renaitra de ses cendres. Et ainsi, je régnerais sur les cieux. ». Braygan sentit un couteau lui transpercer la peau, dans le dos, et il vit la lame ressortir de sa cage thoracique. Pourtant il ne ressentait aucune douleur. Le visage du chasseur devint simplement pâle comme un linge. Braygan entrevu l’autre chasseur, tout en armure. Ce dernier se positionna de manière à asséner une puissante charge de lance. Il vit le chasseur de la guilde s’éloigner. La charge était lancée. La lance allait briser son crâne comme de rien. L’impact de l’arme était imminent. Braygan hurla.

Il se réveilla en sursaut. Tout le monde dans l’auberge le regardait. Personne n’osait prendre la parole. Tous étaient terrorisés par le cri de peur de Braygan, lequel s’excusa du dérangement. Trois autres chasseurs étaient attablés près de la fenêtre. Ils regardaient tous Braygan d’un air perplexe. L’un des trois chasseurs, un homme aux cheveux blonds, s’adressa au criard : « Tout vas bien mon garçon ?
- Je…oui, un simple cauchemar, répondis Braygan l’air de vouloir se rassurer lui-même.
- Oh, je vois. Si tu veux viens donc te joindre à nous. Un peu de compagnie te fera du bien, répondis l’homme blond.
- Merci mais je préférerais rester seul. Messieurs, mesdames : bonne soirée.
Braygan sorti de l’auberge, presque en titubant. Il s’appuya à une poutre au bord de la mer de sable pour ne pas tomber, et commença à vomir. De la fenêtre de l’auberge, l’homme blond l’observait d’un air inquiet. « Dites, vous trouvez pas qu’il est bizarre le gosse ?
- Pas plus que toi Variann ! rétorqua une de ses camarades entre deux gorgées de bière.
- Exact, ahahah ! continua un autre de ses compagnons.
- Non, je parle sérieusement, répondit Variann.
- Boarf, pas plus que ça. Tu sais, après un cauchemar ça arrive à tout le monde. Puis bon, si ça se trouve il vit juste mal l’alcool !
- Mouais, je me fais sans doute des idées, termina l’homme blond en jetant un dernier coup d’œil dehors : Braygan avait disparu. »
Remarque : je trouve que tu insistes pas assez sur le côté "rêve américain" de la ville. On comprend assez peu l'intérêt si ce n'est de chassez. D'ailleurs, pareils, les chasseurs, mis à part chasser et défendre des convois, on voit peu l'attrait du métier. Les monstres eux sont bien décrit et on comprend la masse qu'ils font peser. Par contre j'ai pas comprit que Braygan avait rencontré son sauveur durant sa cueillette de plante. Faudrait rendre le récit plus compréhensible/''fluide" par moment pour évitez ces confusions.

Aussi fait attention avec les "événements parasites" comme l'incident où les canonniers sont morts. Si cela n'apporte rien au récit, contente toi de le mentionner qu'une fois. Insiste pas dessus, pour pas surcharger le récit. Ou alors je la ferme et tu vas en faire quelque chose qui impactera l'histoire.

Immersion totale dans l'univers. On y croit beaucoup. On le sent vivre.

Détail mais, la partie "rêve", utilise un lexique plus onirique pour en faciliter la compréhension. J'adore le fantastique et le mystère. Ce genre possède son vocabulaire. Et cela renforce l'étrangeté et crée chez le lecteur un bug. "Cela semble réelle mais une odeur de rêve brouille mon cerveau" J'sais pas si je suis clair.

CCL : le chap 1 sert d'entrée en matière à ton univers. Pose les bases du décor. Si pour les monstres c'est réussis, pour la cité et les chasseurs c'est encore flou. Pour la guilde, précise un chouia plus mais à la limite, on pourra préciser son rôle plus tard dans le récit. Ambiance posée et immersion totale. Je dirai, remanie le texte. Pas dans le fond, mais sur la forme. Les champs lexicaux correspondant, "changement de scène" plus compréhensible.
post scriptum Le nombre de cadavres du chapitre est tombé à 3.

Changement de dialogue début chap 2

- Le paranormal comme vous. Je dois dire que vous m'avez pas mal influencé. Et ma mère est officier de justice à Hurlevent. Elle dit vous avoir connu. Vous lui avez fait une sacrée impression et de fil en aiguille, à moi aussi. Et pourquoi connaissance de cause ?
- Elle m'a connu... Me souviens pas tiens. Sinon vous n’étiez pas là lors de la conférence de tout à l'heure ?
Je passe vite pour vous dire que l'histoire de Rafaam sort très bientôt ! (ENFIN !)
Le Vieux revient ! Et pour le coup avec une idée utile ma foie ! Cela fait 1 mois que rien ne ce passe et j'en ai marre ! Du coup on se motive et on se retrousse les manches, avec un petit truc pas bien compliqué. Et venez pas me dire que vous avez pas le temps, on l'a tous à la bouche et elle est irrecevable, sinon vous ne seriez plus sur ce site bande de bachi-bouzouks ! Un p'tit concours littéraire ! Mais comment ça ô grand maître ? Laisse moi t'expliquer Boby.

Le but est simple. Un sujet simple, deux semaines, une histoire, un jury, un gagnant. Comme cela se déroulerait ?

Vu que les decks RP ont aussi bonnes réputations que les putes du Bois de Boulogne (euh...) et qu'après y aura des gens pour dire que ça pollue le site, on se contentera de post sur le forum. On revient aux fondamentaux du projet. De petites histoires sur une carte sans histoires. Aucun talents littéraires n'est obligatoire. Aucun ajouts images/vidéos/sons ne sont obligatoires. Seul l'envie l'est !

Nous noterons l'histoire, les qualités littéraires (figures de styles etc...), le niveau de la langue. Le jury, c'est moi pour l'instant. Et c'est moi qui fixera le premier sujet. Mais le vainqueur de l'édition choisira le futur thème etc... Je compte sur ce qui vous reste d'intelligence pour comprendre bande de buses ! Le vainqueur aura aussi son texte affiché ici. Mon post étant vide (j'espère par ailleurs que Dark n'est pas un régent tyran), je peut très bien y ajouter les textes vainqueurs.

Le jury se réserve bien évidemment de décerner des mentions honorables.

La seule chose que je vous demande à vous bandes de moules, c'est de soutenir le projet. Je demande pas 600 pages. Je préfère la qualité à la quantité.

Sergent Hartman, vous pouvez disposez !

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Iron est de retouuuuuuur ! :')
Tu m'as manqué l'ami. Je participe avec plaisir !

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