With great powers come...

A la demande générale

Le cerveau de mes contemporains est humide, et à chaque fois que l’étincelle du savoir y tombe, elle s’éteint.

C’est en ces termes que Michel Druker introduisit le paradoxe Drakopalajoutecontrôle, groupe folklorique né de la rencontre des polyphonies corses et du Muai thai.

Une synergie dont l’écho persiste de nos jours quand un acteur au charisme troublant, incarne tour à tour dans leur perfection archétypale une toxicomane fan de Franck Dukes, Natsuko le chiropracteur phuketois, ou bien Oumphouet le musulmangarou érotomane.

Gloire donc à celles et ceux qui besognant à son image ont su porter comme un oiseau blessé et conserver intacte cette part de lumière.

Paskeu la lumière… c’est bô, c’est chaud. La lumière éclaire, la lumière brille, la lumière vacille, mais jamais ne meurt. Rappelle-toi… « Light never dies » semblaient hier encore marteler sur le visage tuméfié mais reconnaissant de Tompo les poings de qui-tu-sais.

Et ouai, la lumière elle a pas honte. Elle se tient droite comme le premier des hommes dans le printemps de sa race. Paskeu c’est pas une toutoune la lumière. Elle sent fort la lumière. D’ailleurs, elle finit sa bière.

Elle se gratte, et rote un rictus satisfait. Elle a tatoué sur le front "Justice demands retribution!”

Alors, elle fixe l’horizon et lui fait baisser le regard.